☼ L'étranger
Informations
Titre :
L'étranger
Auteur :
Albert Camus
Langue :
Français
Date
de parution : 1942
Editions :
Folio Classiques
Genre/catégorie :
Roman
Nombre
de pages : 120
Prix :
5,90 €
Resume
"Quand
la sonnerie a encore retenti, que la porte du box s'est ouverte,
c'est le silence de la salle qui est monté vers moi, le silence, et
cette singulière sensation que j'ai eue lorsque j'ai constaté que
le jeune journaliste avait détourné les yeux. Je n'ai pas regardé
du côté de Marie. Je n'en ai pas eu le temps parce que le président
m'a dit dans une forme bizarre que j'aurais la tête tranchée sur
une place publique au nom du peuple français…"
Mon
avis
Ce
livre m'a fait tomber encore plus amoureuse de l'écriture de Camus
qu'avant ! J'adore cet auteur, les phrases magnifiques qu'il
arrive à construire avec de simples mots, la façon qu'il a de me
faire voyager en Algérie alors que je reste dans mon lit. C'est
toujours un bonheur de lire ce qu'il écrit. Mais il fait toujours
mourir mes personnages préférés, je ne sais pas pourquoi... A
chaque fois que je m'identifie à un personnage, il faut toujours
qu'il meurt à la fin !
En
tout cas j'ai beaucoup aimé le personnage de Meursault et celui de
Marie. J'ai trouvé qu'ils étaient très bien ensemble. Mais je n'ai
pas du tout aimé Raymond et Salamano, que ce soit pour leur
comportement avec les humains ou les animaux...
C'était
assez perturbant mais aussi très amusants de trouver plein de
références à tout ce que j'ai appris cette année en cours de
Français en lisant « La Peste », de Camus.
Si
vous n'avez pas lu ce livre, je vous le conseille vivement !
J'ai fini ma lecture recroquevillée sur mon lit en serrant ce roman
dans mes bras…
Note
20/20
COUP
DE COEUR
Citations
« Les
lampes de la rue se sont alors allumées brusquement et elles ont
fait pâlir les premières étoiles qui montaient dans la nuit. »
« Le
brun du soleil lui faisait un visage de fleur. »
« Sa
langue rafraîchissait mes lèvres et nous nous sommes roulés dans
les vagues pendant un moment. »
« J'avais
laissé ma fenêtre ouverte et c'était bon de sentir la nuit d'été
couler sur nos corps bruns. »
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